Cliquez ici >>> 🐼 moteur que l on trouve dans une centrale nuclĂ©aire

EN VIDÉO] Predator, le robot qui peut dĂ©manteler une centrale nuclĂ©aire Pour dĂ©manteler le rĂ©acteur nuclĂ©aire A de la centrale de Chooz, dans les Ardennes, des robots, en fait, des Rien absolument rien, n’indique que l’on pĂ©nĂštre dans une centrale nuclĂ©aire, exceptĂ© le logo Rosatom, fraĂźchement peint sur la coque. Ni dosimĂštre, ni Ă©quipement spĂ©cial, seul un CodycrossMoteur que l'on trouve dans une centrale nuclĂ©aire Voici toutes les solution Moteur que l'on trouve dans une centrale nuclĂ©aire. CodyCross est un jeu addictif dĂ©veloppĂ© par DansLa Centrale d’Élisabeth Filhol, que nous avons dĂ©jĂ  Ă©voquĂ©, l’on assiste Ă  une structuration imaginaire analogue, qui crĂ©e encore une fois un sentiment d’inquiĂ©tante Ă©trangetĂ©, lorsque le protagoniste dĂ©crit son lieu de travail. Il insiste en effet d’abord sur l’insertion insensible de la centrale nuclĂ©aire dans la nature: «On savait qu’elle Ă©tait lĂ , quelque LesRusses pourraient construire la premiĂšre centrale nuclĂ©aire civile algĂ©rienne. Moscou et Alger ont signĂ© mercredi un accord sur la coopĂ©ration dans le domaine du nuclĂ©aire civil, qui Comment Faire Des Rencontres Dans Une Nouvelle Ville. Article niveau fin de collĂšge đŸ‘œđŸ‘œđŸ‘œ Note si tu arrives directement sur ce billet, on te conseille de relire les prĂ©cĂ©dents la radioactivitĂ©, d’oĂč elle vient, les risques, la dĂ©couverte de l’Uranium. Dans le prĂ©cĂ©dent article ici, nous t’avons expliquĂ© que dans une centrale nuclĂ©aire, on produisait de la vapeur permettant d’entraĂźner la rotation d’une grande turbine. La vapeur se forme en apportant une grande quantitĂ© de chaleur Ă  de l’eau liquide. Cette chaleur est produite grĂące Ă  des rĂ©actions nuclĂ©aires on provoque la fission d’atomes d’Uranium 235, c’est-Ă -dire la cassure de leur noyau par l’impact d’un neutron. Et tout cela se fait en chaĂźne. En France la technologie s’appelle le REP ou RĂ©acteur Ă  Eau sous Pression on va te montrer aujourd’hui comment tout cela s’organise ! Produire de la vapeur Le but est de faire chauffer de l’eau comme tu peux le faire dans une cocotte minute Ă  la maison. Sauf qu’ici, c’est une cocotte gĂ©ante et que la pression y est beaucoup plus Ă©levĂ©e ; on te conseille de relire ce prĂ©cĂ©dent billet consacrĂ© Ă  la cocotte minute. Cette grande cocotte s’appelle un gĂ©nĂ©rateur de vapeur » et dans une seule tranche* d’une centrale nuclĂ©aire, on trouve 3 ou 4 gĂ©nĂ©rateurs de vapeur cela dĂ©pend de la puissance. * une tranche, c’est toute l’installation contenant un seul rĂ©acteur nuclĂ©aire et une turbine. Dans une centrale nuclĂ©aire française, il y a gĂ©nĂ©ralement plusieurs tranches Ă  un mĂȘme endroit Ă  la centrale de Gravelines, il y a 6 tranches ! Un gĂ©nĂ©rateur de vapeur est donc une enceinte contenant une rĂ©serve d’eau et des tubes en forme de U grĂące auxquels se fait l’échange de chaleur Ă  l’intĂ©rieur de ces tubes, circule de l’eau trĂšs chaude d’un autre circuit d’eau appelĂ© circuit primaire » que nous verrons un peu plus loin. L’eau qui va ĂȘtre transformĂ©e en vapeur circule donc dans un circuit fermĂ©, qu’on appelle circuit secondaire il comprend, dans les grandes lignes, des pompes pour faire circuler l’eau, les gĂ©nĂ©rateurs de vapeur, les conduites pour amener la vapeur jusqu’à la turbine, un condenseur pour condenser la vapeur aprĂšs son passage dans la turbine et des conduites pour ramener cette eau au gĂ©nĂ©rateur de vapeur. Le circuit en bleu est le circuit secondaire. Il contient l’eau qui va se transformer en vapeur Ă  haute pression. AprĂšs passage dans la turbine, la vapeur a moins d’énergie elle s’est refroidie et a perdu en pression. Elle est condensĂ©e en eau ce qui permet de recommencer le cycle. Et hop, retour vers le gĂ©nĂ©rateur de vapeur. La source chaude et le circuit primaire Mais d’oĂč vient la chaleur reçue par l’eau du circuit secondaire ? On l’a dit, elle provient de rĂ©actions nuclĂ©aires ! Les rĂ©actions nuclĂ©aires sont des rĂ©actions qui se produisent au sein d’une partie sensible » de l’installation qu’on appelle le rĂ©acteur ». Et pour rĂ©cupĂ©rer la chaleur dĂ©gagĂ©e par ces rĂ©actions, c’est encore de l’eau qui va ĂȘtre utilisĂ©e il y a d’autres possibilitĂ©s mais dans le cas des REP, c’est de l’eau. On dit que c’est le fluide caloporteur ». Cette eau circule dans un circuit fermĂ© le circuit primaire. Mais attends un peu ! On a parlĂ© de l’uranium, mais comment il se prĂ©sente ? La mise en forme du combustible dans une centrale nuclĂ©aire Dans la filiĂšre REP dont il est question pour tous les rĂ©acteurs français, le cƓur du rĂ©acteur contient le combustible* uranium sous forme d’oxyde d’uranium UO2. Celui-ci est conditionnĂ© en petites pastilles enfermĂ©es dans des gaines mĂ©talliques Ă©tanches, appelĂ©es crayons, faites d’un alliage particulier**. * Le terme combustible est le vocabulaire utilisĂ© pour parler des assemblages d’uranium au sein du rĂ©acteur. Il ne s’agit pourtant pas d’une combustion qui est une rĂ©action chimique. ** Le zirconium a Ă©tĂ© choisi pour sa facultĂ© Ă  laisser passer les neutrons issus de la fission. Les crayons sont ensuite regroupĂ©s en assemblages, eux mĂȘmes disposĂ©s dans une cuve remplie d’eau additionnĂ©e d’une solution particuliĂšre elle contient du bore qui absorbe les neutrons. Le cƓur du rĂ©acteur, c’est l’ensemble des assemblages de combustible. Pour Ă©viter la dissĂ©mination de la radioactivitĂ© particules et rayonnements vers l’extĂ©rieur, plusieurs barriĂšres sont prĂ©vues la gaine mĂ©tallique des pastilles, le circuit primaire la cuve et une enceinte en bĂ©ton qui recouvre le tout. Lorsqu’on veut arrĂȘter le rĂ©acteur, un systĂšme est activĂ© il permet de plonger des barres faites en un matĂ©riau qui absorbe les neutrons. Les rĂ©actions s’arrĂȘtent ! Le combustible dans le rĂ©acteur. Les 3 barriĂšres pour confiner la radioactivitĂ© – la gaine mĂ©tallique des pastilles, – le circuit primaire en orange, – l’enceinte en bĂ©ton en forme de dĂŽme reprĂ©sentĂ© en noir Le circuit primaire contient le combustible dans le rĂ©acteur et la cuve de l’eau qui circule en circuit fermĂ© et s’échauffe Ă  plus de 300 °C par son passage dans la cuve autour du combustible elle rĂ©cupĂšre l’énergie produite par les rĂ©actions nuclĂ©aires, les pompes primaires qui mettent l’eau en circulation un pressuriseur qui rĂšgle la pression Ă  une valeur Ă©levĂ©e 150 bar environ soit plus de 150 fois la pression atmosphĂ©rique cela pour s’assurer que l’eau soit liquide Ă  la tempĂ©rature de 300°C au sein de la cuve les gĂ©nĂ©rateurs de vapeur contenant plus de 3000 tubes en U. L’eau du circuit primaire circule Ă  l’intĂ©rieur des tubes en U, et l’eau alimentaire du circuit secondaire circule Ă  l’extĂ©rieur l’eau du circuit primaire cĂšde sa chaleur Ă  l’eau du secondaire. REP avec 3 gĂ©nĂ©rateurs de vapeur configuration de la centrale de Gravelines En rĂ©sumĂ© On peut donc dĂ©sormais prĂ©senter un schĂ©ma explicatif complet d’une centrale Ă  REP avec tous les circuits Trois circuits indĂ©pendants et fermĂ©s assurent le bon fonctionnement d’une centrale nuclĂ©aire REP le circuit primaire, oĂč de l’eau sous pression circule en circuit fermĂ© autour du combustible de façon Ă  extraire l’énergie produite par les rĂ©actions nuclĂ©aires, le circuit secondaire, indĂ©pendant du premier lĂ  oĂč se forme la vapeur cheminant vers la turbine ainsi la vapeur formĂ©e n’est pas en contact avec le cƓur et ne contient aucune radioactivitĂ©. le circuit de refroidissement permettant la condensation de la vapeur aprĂšs son passage dans la turbine ce circuit est de l’eau venant d’une riviĂšre*, ou de la mer qui circule dans des tubes au niveau du condenseur et le refroidit. * L’eau de la riviĂšre est alors elle-mĂȘme refroidie au sein d’un rĂ©frigĂ©rant atmosphĂ©rique on t’en avait parlĂ© ici. Est-ce que c’est dangereux ? La question de la sĂ»retĂ© des installations et celle de la gestion des dĂ©chets le combustible qui a sĂ©journĂ© dans le rĂ©acteur est qu’on ressort lorsqu’il est usĂ© » restent des prĂ©occupations fortes, pour lesquelles des rĂ©ponses existent et mĂ©ritent un approfondissement. Nous reviendrons sur la gestion des dĂ©chets et de la sĂ©curitĂ© un peu plus tard voir le billet sur Tchernobyl ici Auteur Pascale BaugĂ© du blog Le Monde et Nous Le gĂ©ant français de l’énergie EDF annonce mercredi avoir dĂ©posĂ© une demande pour construire une nouvelle centrale nuclĂ©aire au Royaume-Uni, le projet Sizewell C, sur le modĂšle de celle de Hinkley Point. La candidature a Ă©tĂ© soumise avec deux mois de retard en raison de la crise du coronavirus, explique EDF Energy, la filiale britannique du groupe, dans un communiquĂ©. Le processus de sĂ©lection devrait prendre 18 mois et ce sera ensuite au gouvernement de valider ou non ce projet de centrale, laquelle se situera dans le Suffolk, sur la cĂŽtĂ© est anglaise, et sera Ă©quipĂ©e de deux rĂ©acteurs EPR. D’une puissance totale de 3,2 GW, Sizewell C pourra fournir de l’électricitĂ© Ă  6 millions de foyers et sa construction devrait crĂ©er emplois, selon EDF. Sizewell C est un projet d’infrastructure neutre en Ă©missions carbone et de nature Ă  relancer l’économie aprĂšs la crise du coronavirus », estime Humphrey Cadoux-Hudson, directeur gĂ©nĂ©ral de Sizewell C. Il permettra de crĂ©er des emplois hautement qualifiĂ©s et de long terme pour la population du Suffolk et renforcera l’industrie du nuclĂ©aire Ă  travers le pays », selon lui. Sur le site de Sizewell, il existe deux centrales, Sizewell A ouverte dans les annĂ©es 1960 et fermĂ©e en 2006, et Sizewell B, ouverte en 1995 et encore en opĂ©ration. La centrale sera une quasi-rĂ©plique de Hinkley Point dans le Somerset sud-ouest de l’Angleterre et sera comme cette derniĂšre dĂ©veloppĂ©e par EDF aux cĂŽtĂ©s du chinois CGN. Cela devrait permettre selon EDF de rĂ©duire les risques et les coĂ»ts pour cette nouvelle centrale. Hinkley Point C a Ă©tĂ© validĂ© par le gouvernement britannique en 2016 et est la seule centrale nuclĂ©aire en cours de construction dans le pays. Mais le projet a subi des dĂ©passements de budget si bien que EDF a revu en 2019 en hausse son coĂ»t, estimĂ© dĂ©sormais entre 21,5 et 22,5 milliards de livres. CensĂ©e ĂȘtre livrĂ©e Ă  partir de la fin 2025, bien qu’ EDF ait prĂ©venu d’un risque de retard, cette centrale doit fournir 7% des besoins en Ă©lectricitĂ© britanniques. Ces diffĂ©rents projets doivent prendre le relais des centrales nuclĂ©aires construites au XXe siĂšcle qui ont fermĂ© ou sont sur le point d’arriver en fin de vie. Ils sont en outre cruciaux pour EDF qui a connu des dĂ©boires avec ses rĂ©acteurs de troisiĂšme gĂ©nĂ©ration EPR, notamment Ă  Flamanville. Le projet de Sizewell rencontre l’opposition des associations Ă©cologistes. Le mouvement Stop Sizewell C estime qu’il est trop coĂ»teux, se fait au dĂ©triment de l’investissement dans les Ă©nergies vertes et va avoir un impact sur le tourisme et la nature dans la rĂ©gion. Pour l’ONG Greenpeace, le soutien en faveur du nuclĂ©aire est difficile Ă  expliquer compte tenu des alternatives moins chĂšres, plus sĂ»res, plus rapides et bien plus populaires qui sont privilĂ©giĂ©es dans la plupart du reste du monde ». jbo/evs PlanĂšte AprĂšs l'Ă©motion suscitĂ©e en Allemagne par la catastrophe de Fukushima, le gouvernement a dĂ©cidĂ© en mars d'arrĂȘter immĂ©diatement les plus vieux rĂ©acteurs nuclĂ©aires du pays. Le gĂ©ant de l'industrie allemande Siemens a annoncĂ© dimanche 18 septembre qu'il renonçait Ă  son activitĂ© dans le nuclĂ©aire pour se renforcer dans le secteur des Ă©nergies renouvelables. "A l'avenir nous continuerons Ă  livrer des piĂšces conventionnelles, comme des turbines Ă  vapeur. Cela signifie que nous nous bornons Ă  des technologies qui ne servent pas qu'au nuclĂ©aire, mais que l'on trouve aussi dans les centrales Ă  gaz ou Ă  charbon", a prĂ©cisĂ© Peter Löscher, le PDG du groupe, dans un entretien Ă  l'hebdomadaire Der Spiegel AprĂšs l'Ă©motion suscitĂ©e en Allemagne par la catastrophe de Fukushima, le gouvernement allemand avait dĂ©cidĂ© en mars d'arrĂȘter immĂ©diatement les plus vieux rĂ©acteurs nuclĂ©aires du pays puis de condamner les autres Ă  l'horizon 2022. "Cela a changĂ© les choses pour nous", a reconnu Peter Löscher. Prudent, le patron de Siemens avait Ă©tĂ© l'un des rares en Allemagne Ă  ne pas signer en 2010 une lettre ouverte Ă©manant des poids lourds de l'Ă©conomie allemande pour rĂ©clamer un allongement de la durĂ©e d'exploitation des centrales nuclĂ©aires du pays. Il voit aujourd'hui dans la dĂ©cision du groupe de se dĂ©sengager totalement de ce secteur une "rĂ©ponse Ă  la position claire prise par la sociĂ©tĂ© et le monde politique en Allemagne". Mais le PDG souligne que Siemens entend profiter, en tant que fournisseur de turbines Ă  gaz et de matĂ©riels pour l'Ă©nergie Ă©olienne et solaire, de cette nouvelle politique du gouvernement qu'il qualifie de "projet du siĂšcle". ABANDON D'UN PROJET AVEC ROSATOM Principale consĂ©quence concrĂšte de ce virage stratĂ©gique l'abandon d'un projet de coentreprise entre Siemens et le groupe public russe Rosatom. En 2009, Siemens avait Ă©tĂ© forcĂ© d'annoncer sa rupture avec le groupe nuclĂ©aire français Areva et de vendre sa participation dans la filiale de rĂ©acteurs Areva NP. Faute de pouvoir dĂ©velopper encore cette coopĂ©ration en raison d'une opposition politique de la part de la France, Siemens avait prĂ©fĂ©rĂ© se tourner vers la Russie et commencer en mars 2009 Ă  discuter avec Rosatom, dans un contexte de renaissance internationale du nuclĂ©aire. "Les deux groupes sont toujours trĂšs intĂ©ressĂ©s par un partenariat. Mais il portera sur un autre domaine", a expliquĂ© Peter Löscher. Reste Ă  connaĂźtre la rĂ©action des Russes. En mars, Rosatom avait dĂ©clarĂ© partir "du principe que Siemens appliquera la lettre d'intention dans son intĂ©gralitĂ©". Les Russes ont fait preuve "de comprĂ©hension" lorsque Siemens les a informĂ©s, a assurĂ© Peter Löscher. Cet Autrichien de 53 ans, arrivĂ© en 2007 Ă  la tĂȘte du conglomĂ©rat allemand, est l'artisan d'une restructuration profonde du groupe. Il a trĂšs tĂŽt affichĂ© son ambition de faire de Siemens un pionnier des technologies "vertes" et du dĂ©veloppement urbain international. Le groupe est en particulier un acteur majeur de la construction d'Ă©oliennes au niveau international. Le Monde avec AFP Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Chargement d'un rĂ©acteur de la centrale chinoise de Ling Ao ©EDF-Gabriel LiesseDĂ©finition et catĂ©goriesUn rĂ©acteur nuclĂ©aire permet de produire une rĂ©action de fission en chaĂźne et d’en contrĂŽler l’intensitĂ©. Quatre constituants principaux sont nĂ©cessaires pour concevoir un rĂ©acteur nuclĂ©aire un combustible dans lequel se produit la fission ;un fluide caloporteur, liquide ou gazeux, qui transporte la chaleur hors du cƓur du rĂ©acteur pour ensuite actionner un turbine turboalternateur permettant la production d’électricitĂ© ;un modĂ©rateur sauf pour les rĂ©acteurs Ă  neutrons rapides qui permet de ralentir les neutrons afin de favoriser la rĂ©action en chaĂźne ;un moyen de contrĂŽle de la rĂ©action en chaĂźne. Il en existe deux types des barres de commande constituĂ©es de matĂ©riaux absorbant les neutrons que l’on fait plus ou moins rentrer dans le cƓur du rĂ©acteur ;des corps dissous dans l’eau dont on peut faire varier la concentration au cours du temps par exemple du bore sous forme d’acide borique.La rĂ©action en chaĂźne est maintenue si le nombre de neutrons produits par les fissions des atomes lourds est Ă©gal au nombre de neutrons qui fission consiste Ă  casser des noyaux lourds, comme ceux de l’uranium 235 ou du plutonium 239. Sous l’effet de l’impact d’un neutron, les noyaux lourds se divisent en deux atomes plus petits, libĂšrent de l’énergie et des neutrons. C’est cette Ă©nergie qui est utilisĂ©e dans les rĂ©acteurs nuclĂ©aires. Les neutrons libĂ©rĂ©s peuvent alors aller percuter un autre atome lourd qui va se diviser en deux Ă  son tour, etc. C’est la rĂ©action en rĂ©action en chaĂźne est maintenue dans le cƓur du rĂ©acteur si le nombre de neutrons produits par les fissions des atomes lourds est Ă©gal au nombre de neutrons qui disparaissent par exemple absorbĂ©s par l’uranium 238. Le rapport de ces deux nombres production divisĂ©e par disparition est appelĂ© coefficient de multiplication ou criticitĂ© » et doit ĂȘtre Ă©gal Ă  ce rapport est infĂ©rieur Ă  1, alors les neutrons disparaissent plus vite qu’ils ne sont produits et la rĂ©action en chaĂźne va finir par s’arrĂȘter et le rĂ©acteur aussi le cƓur est alors dit sous-critique ». A l’inverse, si le coefficient de multiplication est supĂ©rieur Ă  1, alors le nombre de neutrons prĂ©sents dans le cƓur va augmenter trĂšs rapidement, ce qui entraĂźnera une augmentation du nombre de fissions et de l’énergie dĂ©gagĂ©e. La rĂ©action en chaĂźne va donc s’emballer. Le rĂ©acteur est dit sur-critique ».Plusieurs technologies permettent de transformer l’énergie issue de la rĂ©action de fission en Ă©lectricitĂ©. On les caractĂ©rise par famille en fonction des composants principaux combustible, modĂ©rateur ou absence de modĂ©rateur et de 80% du parc nuclĂ©aire en fonctionnement dans le monde est constituĂ© de REP et de l’heure actuelle, trois principales filiĂšres sont dĂ©veloppĂ©es dans le filiĂšre Ă  eau ordinaire » ou lĂ©gĂšre » et Ă  uranium enrichi en U235Dans cette filiĂšre, il existe deux types de rĂ©acteurs les RĂ©acteurs Ă  Eau PressurisĂ©e ou sous pression REP ou PWR et les RĂ©acteurs Ă  Eau Bouillante REB ou BWR. Plus de 80% du parc nuclĂ©aire en fonctionnement dans le monde est constituĂ© de rĂ©acteurs exploitant cette filiĂšre. Les rĂ©acteurs REP sont les plus utilisĂ©s dans le monde 69% du parc actuel en puissance installĂ©e et Ă©quipent tout le parc Ă©lectronuclĂ©aire français 58 rĂ©acteurs en fonctionnement. Dans les REP et REB, l’eau joue le rĂŽle de fluide caloporteur et de filiĂšre Ă  eau lourde et Ă  uranium naturelAvec de nombreuses variantes, ces filiĂšres utilisent un combustible peu ou pas enrichi et un modĂ©rateur qui est l’eau lourde » oxyde de deutĂ©rium. Les grands pays utilisant cette filiĂšre sont le Canada et l’Inde. La France a exploitĂ© une centrale de ce type Ă  Brennilis, en Bretagne. Elle est maintenant dĂ©classĂ©e et en cours de filiĂšre Ă  neutrons rapides et Ă  combustible plutonium et uranium naturelDans cette filiĂšre, le combustible utilisĂ© est l’uranium 238 99,28%ï»ż de l’uranium naturel, transformĂ© en plutonium 239 par absorption de neutrons rapides. Le plutonium gĂ©nĂ©rĂ© est lui-mĂȘme fissionnĂ© par une partie des filiĂšre qui a connu un fort dĂ©veloppement en France avant d’ĂȘtre arrĂȘtĂ©e constitue une voie d’avenir parce qu’elle permet d’organiser une rĂ©action en chaĂźne avec du plutonium issu du retraitement des combustibles usĂ©s de tous les types et de transformer l’uranium 238 en plutonium. Ces rĂ©acteurs gĂ©nĂšrent donc plus de matiĂšre fissile qu’ils n’en consomment et permettent donc de beaucoup mieux utiliser le minerai naturel. En bref, ils multiplient par 70 la capacitĂ© Ă©nergĂ©tique des minerais de la autres filiĂšresLes filiĂšres dites graphite-gaz » dĂ©veloppĂ©es initialement en Europe principalement au Royaume-Uni et dont il existe de nombreux exemples dans le monde ne sont plus dĂ©veloppĂ©es. Elles utilisent le graphite comme modĂ©rateur, l’uranium naturel ou faiblement enrichi comme combustible et le CO2 voire l’hĂ©lium comme que soit la filiĂšre, les diffĂ©rents types de rĂ©acteurs, progressivement perfectionnĂ©s, ont Ă©tĂ© classĂ©s en catĂ©gories, appelĂ©es gĂ©nĂ©rations ». Chaque gĂ©nĂ©ration apporte un progrĂšs dans l’utilisation des combustibles, la sĂ»retĂ© nuclĂ©aire, la rĂ©duction des nuisances et des dĂ©chets. Les centrales actuellement en construction sont de la gĂ©nĂ©ration III mais des centrales de gĂ©nĂ©rations II sont encore en chantier. La majoritĂ© des centrales en exploitation dans le monde appartient Ă  cette technique ou scientifiqueLa filiĂšre Ă  eau ordinaire » ou lĂ©gĂšre » 2e gĂ©nĂ©ration pour la plupartLes RĂ©acteurs Ă  Eau PressurisĂ©e REP Principe de fonctionnement d’un rĂ©acteur Ă  eau pressurisĂ©e ©Connaissance des ÉnergiesDans les rĂ©acteurs REP, tout comme dans les REB, le cƓur du rĂ©acteur avec le combustible nuclĂ©aire est placĂ© dans une cuve elle-mĂȘme en contact avec de l’eau. La rĂ©action en chaĂźne Ă©chauffe les assemblages de combustible qui chauffent alors l’eau, appelĂ©e eau primaire ». En exerçant une forte pression 155 atmosphĂšres, le pressuriseur empĂȘche cette eau de bouillir. L’eau primaire » reste donc sous forme aux pompes primaires, l’eau primaire » circule en circuit fermĂ© entre la cuve du rĂ©acteur et le GĂ©nĂ©rateur de Vapeur GV. Le GV est un Ă©changeur qui va permettre la transmission de la chaleur de l’eau du circuit primaire Ă  l’eau du circuit secondaire. L’eau secondaire — qui ne sera jamais en contact avec le combustible — Ă©tant soumise Ă  une pression beaucoup plus faible 70 atmosphĂšres, va entrer en Ă©bullition. La vapeur alors produite est acheminĂ©e vers le turboalternateur. Une fois actionnĂ© par la vapeur, le turboalternateur produit de l’ la sortie du turboalternateur, la vapeur est retransformĂ©e en eau dans un condenseur » refroidi par de l’eau de mer ou de riviĂšre ou encore par de l’air frais et humide qui s’engouffre dans les tours en bĂ©ton appelĂ©es aĂ©rorĂ©frigĂ©rantes ». Cette eau est donc un troisiĂšme circuit totalement indĂ©pendant de l’eau secondaire est ramenĂ©e vers le rĂ©acteur nuclĂ©aire pour ĂȘtre Ă  nouveau transformĂ©e en vapeur refermant ainsi le RĂ©acteurs Ă  Eau Bouillante REBPrincipe de fonctionnement d’un rĂ©acteur Ă  eau bouillante ©Connaissance des ÉnergiesDans un REB, Ă  l’inverse d’un rĂ©acteur REP, il n’y a pas d’eau secondaire, l’eau chauffĂ©e par les assemblages de combustible nuclĂ©aire entre en Ă©bullition Ă  l’intĂ©rieur mĂȘme de la vapeur produite est acheminĂ©e vers le turboalternateur Ă  l’aide des tuyauteries vapeur » l’eau qui n’aurait pas Ă©tĂ© vaporisĂ©e est remise en circulation dans le cƓur du rĂ©acteur au moyen des pompes de recirculation. ActionnĂ© par la vapeur, le turboalternateur produit de l’électricitĂ©. La vapeur suit alors le mĂȘme cycle que dans un REP. Elle est recondensĂ©e dans le condenseur refroidi par un circuit indĂ©pendant et est ramenĂ©e vers le cƓur du filiĂšre Ă  eau lourdeL’eau lourde » D2O est une combinaison d’oxygĂšne et de deutĂ©rium atome d’hydrogĂšne lourd.Elle est utilisĂ©e comme modĂ©rateur dans des rĂ©acteurs surtout dĂ©veloppĂ©s au Canada. L’eau lourde absorbe moins les neutrons que l’eau classique. Ainsi de l’uranium naturel transformĂ© en plutonium peut ĂȘtre directement utilisĂ© comme combustible dans ces d’enrichissement de l’uranium n’a donc pas lieu dans le cycle du combustible utilisĂ© dans ces rĂ©acteurs. L’eau lourde peut Ă©galement ĂȘtre utilisĂ©e comme fluide caloporteur car ses propriĂ©tĂ©s physiques sont proches de celles de l’eau filiĂšre Ă  neutrons rapidesLes rĂ©acteurs Ă  neutrons rapidesDans les rĂ©acteurs Ă  neutrons rapides, il n’y a pas de modĂ©rateur. Les neutrons ne sont donc pas ralentis d’oĂč le nom des rĂ©acteurs et gardent toute leur Ă©nergie. Ils ont ainsi la capacitĂ© de produire plus de matiĂšre fissile qu’ils n’en consomment. Ils utilisent presque toute l’énergie contenue dans l’uranium. De plus, les neutrons rapides ont la qualitĂ© de dĂ©truire au sein mĂȘme du rĂ©acteur les dĂ©chets nuclĂ©aires en les transformant en noyaux plus lĂ©gers par fluide caloporteur peut ĂȘtre un gaz inerte hĂ©lium ou un mĂ©tal liquide sodium. L’eau ne peut pas ĂȘtre utilisĂ©e car elle ralentirait les neutrons. Le combustible est constituĂ© de plutonium et d’uranium 238, matiĂšre non fissible, qui se transforme en plutonium en absorbant un prĂ©sent, les rĂ©acteurs Ă  neutrons rapides ont uniquement fait l’objet d’expĂ©rimentations industrielles en France, les rĂ©acteurs PhĂ©nix et SuperphĂ©nix, actuellement le dĂ©monstrateur Astrid. Cette filiĂšre constitue le socle des prochaines gĂ©nĂ©rations de rĂ©acteurs dans plusieurs de mesure et chiffres clĂ©sLes 58 rĂ©acteurs REP du parc nuclĂ©aire français ne fournissent pas tous la mĂȘme puissance. 34 rĂ©acteurs dĂ©livrent une puissance de 900 MWe mĂ©gawatts Ă©lectriques, 20 une puissance de 1 300 MWe et 4 une puissance de 1 450 rĂ©acteur EPR European Pressurized water Reactor est un rĂ©acteur Ă  eau pressurisĂ©e de GĂ©nĂ©ration III+. Le combustible utilisĂ© est de l’oxyde d’uranium modĂ©rĂ©ment enrichi Ă  5% en uranium 235 ou bien du combustible MOX. La puissance Ă©lectrique qu’il peut fournir est de l’ordre de 1600 MWe. Les avancĂ©es technologiques dont il bĂ©nĂ©ficie le rendent plus sĂ»r et permettent de rĂ©duire l’impact sur l’environnement. Il produit ainsi plus d’électricitĂ© Ă  partir d’une quantitĂ© de combustible donnĂ©e. Le saviez-vous ? Les neutrons Ă©mis par la fission d’un atome d’uranium 235 ont une vitesse de 20 000 km/s. Pour entretenir la rĂ©action en chaĂźne, ces neutrons sont ralentis par le modĂ©rateur jusqu’à une vitesse de 2 km/s. Comme l’écrit avec un humour grinçant une blogueuse surnommĂ©e Jessica, Macron est le prĂ©sident le plus Ă©cologique que la France n’ait jamais eu "il n’a jamais Ă©tĂ© au charbon, ses promesses de campagnes sont biodĂ©gradables, il recycle ses ministres et il brasse plus d’air qu’un parc Ă©olien" Au-delĂ  de l’humour, c’est un sujet intĂ©ressant Ă  creuser, car la question peut ĂȘtre posĂ©e plus sĂ©rieusement en quoi Macron serait-il Ă©colo ? Les voitures Ă©lectriques, censĂ©es supprimer la pollution dĂ©gagĂ©e par les moteurs thermiques ? Sachant que l’autonomie d’une voiture Ă©lectrique peut ĂȘtre au maximum de 500 km, cela correspond sur une autoroute Ă  4 heures de conduite...mais quid en cas de bouchons...provoquĂ©s par une tempĂȘte de neige par exemple ? Qui a oubliĂ© cette fameuse tempĂȘte de neige nommĂ©e Bella, faisant tomber 50 cm de neige en 2 jours, un certain 29 dĂ©cembre 2020 qui a bloquĂ© pendant des heures des centaines de vĂ©hicules sur l’autoroute qui relie Clermont-Ferrand Ă  BĂ©ziers ? lien Au bout de 3 heures de blocage, Ă©tant obligĂ©s de faire tourner leur moteur pour ne pas subir le froid, ou d’autres problĂšmes mĂ©caniques, quelle solution restera-t-il aux voyageurs ?...et qui viendrait les dĂ©panner puisque tous les vĂ©hicules seraient Ă©lectriques, y compris celui des dĂ©panneurs ? Et il n’y a pas que l’hiver qui pourrait poser problĂšme... car, nous avons connu cet Ă©tĂ© plusieurs Ă©pisodes de canicule...qui dit canicule dit utilisation de la clim dans les vĂ©hicules, et donc consommation supplĂ©mentaire d’électricitĂ©, d’autant que lors des dĂ©parts/retour de vacances, il est bien connu que les bouchons se multiplient 860 km de bouchons cumulĂ©s, lors des dĂ©parts de vacances lien et 770 km pour les retours en 2022, entraĂźnant une autre surconsommation d’électricitĂ©. lien Il est facile d’imaginer le chaos qui s’en suivrait, tant en Ă©tĂ© qu’en hiver, si ces vĂ©hicules Ă©lectriques se trouvent finalement en panne sur l’autoroute
 Au-delĂ  de cette rĂ©flexion, d’autres problĂšmes surgissent, car le recyclage des batteries coĂ»te cher, raison pour laquelle, elles sont la plupart du temps stockĂ©es, provoquant une nouvelle pollution... Mais la raison principale est que le tout-Ă©lectrique va provoquer un Ă©norme accroissement de consommation Ă©lectrique, et donc toujours plus de centrales nuclĂ©aires
 Revenons au bilan prĂ©sidentiel en matiĂšre de lutte contre le changement climatique. On sait que notre pays est largement en retard sur l’ensemble des pays de l’union europĂ©enne, 17Ăšme au sein de l’union europĂ©enne, piĂ©gĂ© dans son choix de politique des petits pas » lien On sait aussi que pour la rentrĂ©e, Macron serait prĂȘt Ă  dĂ©cider des mesures exceptionnelles ? pour rattraper son retard, mais qui peut encore le croire, d’autant que le quinquennat prĂ©cĂ©dent a montrĂ© les limites de l’action gouvernementales ? Au moment oĂč 28 des 56 rĂ©acteurs disponibles sont Ă  l’arrĂȘt, lien et oĂč la Russie a dĂ©cidĂ© d’un chantage au gaz, on ne voit pas trĂšs bien comment le pays pourrait enfin prendre le virage vers les Ă©nergies propres. Lien Pour ĂȘtre plus prĂ©cis, en ce moment, le parc nuclĂ©aire ne produit plus que 23,6 GW sur les 61,4 GW possibles soit presque le tiers du potentiel... Ajoutons que la sĂ©cheresse exceptionnelle que nous connaissons amplifie le problĂšme, car les centrales nuclĂ©aires ont besoin de beaucoup d’eau pour refroidir les rĂ©acteurs la centrale de Golfech en a fait les frais, et elle n’est pas la seule, le Blayais, Chooz, Cattenom sont aussi concernĂ©s. lien D’autres rĂ©acteurs ont du ralentir leur production, comme par exemple ceux de St Alban, Tricastin, Dampierre, Belleville...lien Rappelons aussi qu’un rĂ©acteur prĂ©lĂšve 3m3 d’eau par seconde, provoquant l’évaporation d’un demi mĂštre cube d’eau. lien N oublions pas pour autant les centrales situĂ©es au bord des cĂŽtes de la Mer du Nord en effet, la canicule a provoquĂ© une prolifĂ©ration d’algues, lesquelles pourraient boucher des canalisations destinĂ©es au refroidissement des rĂ©acteurs. Et la situation devrait empirer dans les annĂ©es suivantes s’il faut en croire la carte rĂ©alisĂ©e par explorer 2070 » qui montre les projections de sĂ©cheresse pour 2050
 Pour tenter de rĂ©pondre Ă  cette urgence, ce gouvernement propose des solutions discutables, comme on l’a vu avec les voitures Ă©lectriques...il propose de dĂ©boiser des forĂȘts entiĂšres pour implanter des parcs photovoltaĂŻques. Lien Il y a pourtant une solution bien moins dĂ©vastatrice, c’est tout simplement d’équiper tous les toits du pays ce qui reprĂ©sente une surface considĂ©rable. Beaucoup de fausses informations ont Ă©tĂ© communiquĂ©es ici ou lĂ , afin de dĂ©montrer que le photovoltaĂŻque ne serait pas une alternative crĂ©dible...en rĂ©alitĂ©, la production Ă©lectrique annuelle actuelle correspond Ă  un carrĂ© de 25 km de cotĂ© 500 kmÂČ...alors que la surface couverte d’infrastructure en France bordures d’autoroutes, et toitures diverses correspond Ă  environ 30 000 kmÂČ. lien La Chine a dĂ©jĂ  au moins une autoroute solaire, qui devrait permettre la production d’un million de kWh par an. lien Pareil pour l’éolien le choix principal est d’implanter ici ou la des parcs Ă©oliens, qui ne font pas l'unanimitĂ©...oubliant qu’il y a une autre solution, c’est Ă©quiper d’abord les maisons, les immeubles, les batiments industriels, de petites Ă©oliennes Ă  axe vertical, moins dommageables pour l’environnement, et quasi tout autant efficaces, mĂȘme si elles sont un peu plus onĂ©reuses, car elles sauvegardent du terrain au sol, et en permettant la consommation sur place de l’énergie produite, elles Ă©vitent un gaspillage lors du transport Ă©nergĂ©tique. Lien. Alors quel avenir pour le plan Ă©nergĂ©tique de Macron »...va-t-il rejoindre les plans divers et variĂ©s qui l’ont prĂ©cĂ©dĂ©, et Ă  la longue liste des promesses non tenues ? L’avenir nous le dira, car comme dit mon vieil ami africain si tu veux voler avec les aigles, arrĂȘte de nager avec les canards ». Le dessin illustrant l’article est de Mutio Merci aux internautes pour leur aide prĂ©cieuse Olivier Cabanel Articles anciens pile poil une farce Ă©nergĂ©tique emportĂ© par le fioul nuclĂ©aire, l’énergie du passĂ© Le complot nuclĂ©aire L’électricitĂ©, c’est gratuit Les Ă©nergies, c’est du propre AprĂšs Totness, Feldheim Totness enlĂšve le haut. Le caillou dans la chaussure Un avenir radieux ou irradiĂ© Sans transition, la chute ! L’énergie en partage Il y a ceux qui nous pompent l’air
 Comment tourner la page du nuclĂ©aire, du pĂ©trole et du charbon Au pays du soleil, le vent ! De l’eau dans le gasoil Roulez, roulez, petits plastiques Faire le plein avec du vide MHD, l’énergie cachĂ©e du futur Quand les ordures se changent en or Vive l’énergie positive Sortir en douceur du nuclĂ©aire Du pĂ©trole sous les sabots Energies propres en SuĂšde De la fuite dans les idĂ©es L’imagination au pouvoir Tel un avion sans kĂ©rosĂšne Rouler malin D’autres Ă©nergies pour sortir de la crise Au chaud sur la terre de glace Simple comme l’eau chaude TĂ©moignage sur le photovoltaĂŻque en France Le plein de cochon Ă  la pompe Le nuclĂ©aire dĂ©passĂ© par des cochons DĂ©chets, de l’or dans nos poubelles En France on a pas de pĂ©trole, et pas d’idĂ©es non plus

moteur que l on trouve dans une centrale nucléaire